DIFFÉRENT TYPES DE ROBOTS
LE ROBOT MILITAIRE
Les robots militaires sont principalement
utilisés pour la surveillance aussi bien dans les airs que dans la mer
telle que les drones. L’UCAV (Unmanned Combat Air Vehicles) est
un avion américain sans pilote qui a pour but de surveiller,
reconnaître, identifier ou même détruire des cibles ennemies. Le premier
prototype mesurait sept mètres et pouvait embarquer une tonne et demi
de munitions. Les UUV (Unmanned Underwater Vehicles) sont des sous-marins qui ont environ les mêmes fonctions que les UCAV.
LE ROBOT AGRICOLE
Un robot agricole est un robot conçu pour accomplir certaines tâches dans le domaine de l'agriculture et de l'horticulture.
Le principal domaine d'application des robots en agriculture est celui de la récolte. Une application émergente possible concerne des robots ou des drones étudiés pour réaliser le désherbage des cultures
Les robots de récolte des fruits, les tracteurs et pulvérisateurs autonomes (sans conducteur) et les robots de tonte des moutons sont conçus pour remplacer la main d'œuvre. Dans la plupart des cas, un grand nombre de facteurs doivent être pris en compte (par exemple, la taille et la couleur des fruits à cueillir) avant d'engager une tâche. Les robots peuvent être utilisés pour d'autres tâches dans le domaine de l'horticulture, telles que l'élagage, le désherbage, la pulvérisation de produits phytosanitaires et le contrôle. Les robots peuvent également être utilisés dans le domaine de l'élevage (robotisation de l'élevage), dans des applications telles que la traite automatique, le lavage et la castration des animaux. Ce type de robots présentent de nombreux avantages pour le secteur agricole, notamment une meilleure qualité des produits frais, une baisse des coûts de production et un moindre besoin de main d'œuvre.
Les robots de récolte des fruits, les tracteurs et pulvérisateurs autonomes (sans conducteur) et les robots de tonte des moutons sont conçus pour remplacer la main d'œuvre. Dans la plupart des cas, un grand nombre de facteurs doivent être pris en compte (par exemple, la taille et la couleur des fruits à cueillir) avant d'engager une tâche. Les robots peuvent être utilisés pour d'autres tâches dans le domaine de l'horticulture, telles que l'élagage, le désherbage, la pulvérisation de produits phytosanitaires et le contrôle. Les robots peuvent également être utilisés dans le domaine de l'élevage (robotisation de l'élevage), dans des applications telles que la traite automatique, le lavage et la castration des animaux. Ce type de robots présentent de nombreux avantages pour le secteur agricole, notamment une meilleure qualité des produits frais, une baisse des coûts de production et un moindre besoin de main d'œuvre.
LES ROBOTS DANS LA MÉDECINE
Le premier robot chirurgical au monde est le Arthrobot, développé et utilisé pour la première fois à Vancouver en 1983. L'équipe à l'origine de ce robot était constituée du docteur James McEwen, ingénieur biomédical, Geof Auchinleck, un étudiant diplômé en génie physique de l'UBC, le docteur Brian Day, chirurgien, ainsi qu'un groupe d'étudiants en ingénierie. Le tout premier robot fut utilisé le lors d'une opération de chirurgie orthopédique au UBC Hospital de Vancouver. Plus de 60 interventions d'arthroscopie furent réalisées la première année et en 1985 un documentaire sur les robots industriels de National Geographic The Robotics Revolution présenta l'appareil.
Outre ce robot assistant chirurgien qui donnait les instruments chirurgicaux par commande vocale, on peut citer, parmi les autres appareils robotisés développés à la même époque, un bras robotisé de laboratoire médical.
La société Computer Motion est pionnière dans le domaine des robots médicaux, avec l'AESOP, utilisé au Canada, puis le ZEUS, utilisé en Europe. En 2003, les sociétés Intuitive Surgical et Computer Motion fusionnent en gardant le nom d'Intuitive Surgical. Le ZEUS est alors abandonné au profit du Da Vinci..
Parmi les pistes nouvelles pour la recherche et développement figure les nanorobots et la robotique molle.
Outre ce robot assistant chirurgien qui donnait les instruments chirurgicaux par commande vocale, on peut citer, parmi les autres appareils robotisés développés à la même époque, un bras robotisé de laboratoire médical.
La société Computer Motion est pionnière dans le domaine des robots médicaux, avec l'AESOP, utilisé au Canada, puis le ZEUS, utilisé en Europe. En 2003, les sociétés Intuitive Surgical et Computer Motion fusionnent en gardant le nom d'Intuitive Surgical. Le ZEUS est alors abandonné au profit du Da Vinci..
Parmi les pistes nouvelles pour la recherche et développement figure les nanorobots et la robotique molle.
LES ROBOTS DANS L’INDUSTRIE
Un robot industriel est un système ayant plusieurs bras à l’image
d’un bras humain souvent composé de six degrés de liberté, trois axes
destinés au positionnement et trois axes à l’orientation permettant de
déplacer et d'orienter un outil (organe effecteur) dans un espace de
travail donné.
On peut distinguer :
les robots de montage de dimension souvent plus réduite les robots mobiles destinés à l’inspection souvent associés à de l’intelligence artificielle et capables, dans certains cas, de prendre en compte l’environnement. Un robot se compose d'une partie mécanique, le bras lui-même, d'une armoire de commande composée d'une unité centrale qui pilote les électroniques de commande d'un ou plusieurs axes qui en assure l’asservissement, de variateurs de vitesse et d'un langage de programmation spécialisé qui permet de commander le robot (LM développé par l'Ensimag Grenoble, langage Adept type basic) qui intègre un transformateur de coordonnées pour transformer une valeur cartésienne en données codeur du moteur.
Certains robots disposent d'un mode d'apprentissage qui permet de répéter les mouvements réalisés librement à la main, l'élément essentiel étant la fidélité la capacité du robot à atteindre successivement la même position dans une tolérance définie, une procédure d'étalonnage permet de reprendre le zéro de chacun des axes. Ils peuvent être associés à un système de vision artificielle qui leur permet de corriger les déplacements.
Pour des raisons de sécurité, ces robots sont protégés par des cages ou des carters pour interdire à l'homme de les approcher de trop près.
La diffusion et amélioration des techniques robotiques permet de faire fonctionner des usines dans le noir
On peut distinguer :
les robots de montage de dimension souvent plus réduite les robots mobiles destinés à l’inspection souvent associés à de l’intelligence artificielle et capables, dans certains cas, de prendre en compte l’environnement. Un robot se compose d'une partie mécanique, le bras lui-même, d'une armoire de commande composée d'une unité centrale qui pilote les électroniques de commande d'un ou plusieurs axes qui en assure l’asservissement, de variateurs de vitesse et d'un langage de programmation spécialisé qui permet de commander le robot (LM développé par l'Ensimag Grenoble, langage Adept type basic) qui intègre un transformateur de coordonnées pour transformer une valeur cartésienne en données codeur du moteur.
Certains robots disposent d'un mode d'apprentissage qui permet de répéter les mouvements réalisés librement à la main, l'élément essentiel étant la fidélité la capacité du robot à atteindre successivement la même position dans une tolérance définie, une procédure d'étalonnage permet de reprendre le zéro de chacun des axes. Ils peuvent être associés à un système de vision artificielle qui leur permet de corriger les déplacements.
Pour des raisons de sécurité, ces robots sont protégés par des cages ou des carters pour interdire à l'homme de les approcher de trop près.
La diffusion et amélioration des techniques robotiques permet de faire fonctionner des usines dans le noir
LE ROBOT COMPAGNONS
Mis sur orbite par la start-up
Blue Frog Robotics, le premier robot compagnon, répondant au doux
prénom de « Buddy », devrait débarquer dans les foyers courant 2018.
Petit, mobile et « rassurant » – aux antipodes de certains robots dont
l’aspect anthropomorphe peut rebuter, voire inquiéter -, ce nouveau
« membre » de la famille prend le parti d’améliorer singulièrement
l’ordinaire, notamment celui des personnes en perte d’autonomie.
Un sourire ravageur irradiant
l’atmosphère, au milieu d’un visage en forme de tablette, suscitant
l’empathie et l’envie de nouer la conversation. Une gageure pour un
robot dans la mesure où le sentiment le plus communément répandu, de
prime abord, est la méfiance. Mais Buddy, d’un simple regard,
transforme la défiance mutuelle en confiance réciproque. Ce robot
compagnon d’une soixantaine de centimètres monté sur roues – ce qui lui
offre toute latitude pour se mouvoir dans toutes les pièces de la
maison, nous y reviendrons – franchit donc avec une certaine maestria
l’étape du « premier contact », celle qui va finalement décider de tout
le reste. Le feeling est incontestablement là, dès le premier regard. « Je
ne voulais pas concevoir un robot trop anthropomorphe. Tout d’abord,
du strict point de vue de la mobilité, un robot doté de jambes a plus de
difficultés à se déplacer, et quand il ne tombe pas il est extrêmement
lent. Sans évoquer les thématiques relatives à sa consommation
d’énergie. De plus, quel intérêt de le doter de bras, s’il ne peut rien
faire avec ? ». Une analyse implacable de la part de « l’orfèvre »
de Buddy, Rodolphe Hasserlvander, CEO et fondateur de Blue Frog
Robotics. Passionné par la robotique depuis sa plus tendre enfance,
l’entrepreneur, après plusieurs pérégrinations professionnelles
notamment dans l’industrie automobile, a finalement renoué avec ses
rêves de jeunesse en intégrant un laboratoire de robotique privé. « Nous y avons notamment développé les premières voitures autonomes, dix ans avant Google », souligne-t-il.
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