CONCLUSION
En conclusion la robotique atteint de nombreux secteur d'activité dans se cas la il y a des avantages et des inconvénient que je vais cité :
Les avantages :
-Ils réduisent les risques pour les humains
Le robot peut servir d’yeux aux agents humains en les remplaçant dans les environnements pénibles, ennuyeux ou dangereux.En cas de menace physique, les robots permettent de soustraire au danger immédiat les agents humains, qui peuvent ainsi se concentrer sur leur intervention sans avoir à soucier de se protéger.
- Ils sont incorruptibles
Le robot n’est pas susceptible de céder à la convoitise, et vous ne pouvez pas non plus le convaincre de fermer les yeux pendant que vous crochetez un cadenas. C’est l’envers du défaut #3 : leurs capacités d’interagir avec les humains sont limitées, mais les robots mettent rigoureusement en application les règles pour lesquelles ils sont programmés.
- Ils se perfectionnent sans cesse
Les recherches se poursuivent sans cesse pour améliorer les robots, tant du point de vue matériel que logiciel, et les mises à jour permettent de prévoir des améliorations continues, les plates-formes les plus performantes étant justement conçues pour recevoir des mises à jour régulières. Bien entendu, le modèle d’affaires de la location évite d’avoir à se soucier de se retrouver avec un modèle discontinué ou qui n’est plus supporté techniquement.
Maintenant les inconvénient :
- Les robots font peur aux humains
Cet aspect « négatif » n’a rien à voir avec la robotique, mais l’on doit tout de même en tenir compte. En effet, abreuvés de science-fiction hollywoodienne et de scénarios économiques catastrophistes, les esprits sont souvent apeurés à l’idée de travailler avec un robot. Pourquoi ?Si on y regarde de plus près, on constate qu’en gros les robots inspirent deux types de peur : celle d’être soumis à leur dominance et celle de perdre nos emplois.
- Les capacités des robots sont limitées*
Bien sûr, les robots voient mieux et plus loin que nous ─ et qui plus est, à 360˚ ─, ils ne se fatiguent pas entre les recharges, ils détectent les anomalies plus efficacement que nous, ils ne se lassent pas, ils ne mentent pas et les réseaux sociaux n’exercent sur eux aucun attrait.
Ce qu’il faut comprendre, par contre, c’est que les robots ne sont pas « intelligents », du moins pas dans le sens où nous l’entendons habituellement. Autrement dit, en dehors de la reconnaissance des objets et la navigation intelligente, leurs ressources ─ par exemple en termes d’empathie et de capacité de réagir aux imprévus ─ sont pour ainsi dire nulles. Là encore, leur hyperspécialisation les rend tributaires d’une équipe.
- Les robots n’ont pas la touche… humaine
Vu la nature artificielle des robots, on peut difficilement leur reprocher ce manque ! En fait, elle devrait nous rassurer. Le robot qui pourra, à l’instar du film d’anticipation Her, séduire un humain n’est pas encore sur les planches à dessin, même si l’on travaille très fort à développer leurs « capacités relationnelles ». Nous y reviendrons, mais en deux mots, les algorithmes des sentiments, ce n’est pas pour demain !
Ces deux dernières « lacunes » des robots nous renvoient à notre deuxième point : une fois de plus, même « autonomes », nos créations ont encore besoin de nous, les humains.
Voilà quelque exemple des robots dans notre société .
Commentaires
Enregistrer un commentaire